Projets 5 : Divers Travaux 7

Aujourd’hui journée plus calme en terme d’activités.   D’abord parce que j’avais quelques courses à faire, passer à la poste, chercher une recharge pour mon portable, saluer mon voisin, faire mes lessives,  … 

Et puis le superbe temps, 20° !! (8° au-dessus des normales saisonnières) donnaient plus envie de flâner et se promener que d’aller bricoler !   Mais finalement début d’après-midi, cela me démangeait et je m’y suis remis !   J’ai « attaqué » le bardage sud de l’appentis de la citerne à mazout, question de finaliser encore un peu plus ce chantier-ci.

Hier je l’avais laissé ainsi

Après 1 heure 30′ de découpes, de vérification de niveau, voici comment cela avait évolué

  

Et oui, j’ai commencé à l’envers ! Pourquoi ?  Afin d’avoir la dernière latte légèrement découpée vu la poutre existante et aussi être parfaitement d’angle avec le bardage déjà en place.  Cela se voit bien sur la dernière vue d’ensemble.   Ensuite vu la déclivité du terrain, de pouvoir « descendre » plus bas.  

  

  

Peut-être que plus tard, je rectifierai la dernière latte basse du grand côté, en supprimant la poutre existante et garder un décrochage vu la pente du terrain.

Ensuite je me suis attelé à supprimer les tirefonds à boulons de la charpente pour les remplacer par des tirefonds poêlier à tête plates, car ils se trouveront finalement derrière les futures lattes du bardage nord.   Le temps de mettre en place le quadrillage des chevrons pour recevoir les lattes et la face nord sera prête à être habillée. 

A bientôt,

Projets 5 : Divers Travaux 6

Magnifique journée, 18° à l’ombre !!  Inimaginable un 20 novembre !!

Déjà au petit-déjeuner cela s’annonçait super !!  Le soleil plongeait la cuisine de sa couleur automnale et les mésanges en nombre se disputaient la mangeoire.

  

C’était idéal pour réaliser la dalle de béton de la grange ouverte.  Pas trop chaud, pas trop froid, idéal !

9h, en avant toute !!  Mise en route de la bétonneuse, 60 pelletées et 1 sac et demi de ciment plus tard, premières brouettes de béton versées.  Heureusement mon ami Jean-Claude était venu à la rescousse !

 

 

MERCI  Jean-Claude pour ton aide et surtout ta qualité de travail et la mise à niveau. Chapeau !

10h … 11h … 12h … terminé ! Ouf !  300 kg au m² ! plus de 500 pelletées plus tard … 

 

  Objectif Atteint, la dalle est coulée et parfaite

 

Et pour couronner le tout nous avons même pris le temps de couler les pieds de retour de bardage de la citerne à mazout.  Ainsi je peux encore avancer de ce côté-là d’ici samedi vu qu’il va faire beau.

Le temps de nettoyer le matériel, de ranger les sacs de ciment en trop, de redonner un aspect « normal » à la cour, de rectifier quelques tuiles canal sur le toit de la grange ouverte (pas moi !! JC !!) et la journée était quasi passée.

Aujourd’hui aussi en fin d’après-midi, a été signé la commande du changement des 5 châssis bois à simple vitrage de l’étage, du remplacement de la vieille porte bois de la chaufferie, de celle d’entrée de cave en nouvelles portes sécurisées.  Une bonne décision de prise, même si ce chantier-là ne pourra se faire que vers la mi-février 2015, vu planning fabricant et poseur.  Cela permettra des économies d’énergie mais aussi un meilleur agrément dans les chambres, car les châssis seront ventilés, oscillant-battants avec volet moustiquaire et persiennes en bois d’Oregon, à projection. Chic quoi !

Une nouvelle belle journée riche de rencontres et pleine de vies.

A bientôt, 

Projets 5 : Divers Travaux 5

Après 2 jours d’extrême mauvais temps pluvieux et venteux et l’impossibilité de travailler à l’extérieur sans se faire « lessiver »,

le soleil est revenu ce matin, d’abord timide, découvrant ensuite un ciel bleu laiteux pour enfin avoir une magnifique journée.

Journée mise immédiatement à profit pour rattraper les précédents travaux interrompus : les préparatifs de la grange ouverte et le bardage de la citerne à mazout.  

C’est ainsi que hier, plein d’entrain, le décaissage et la mise à niveau du sol de la grange ouverte était entamé.   La bâche de protection de sol placée, la porte en bois du local jardin mise à niveau du futur niveau fini, les grillages déposés.

 

Et patatras, revoilà la pluie, plus forte et plus drue que la veille.  Ni Jean-Claude, ni moi-même ne souhaitant à nouveau être détrempés, il a été décidé d’attendre de meilleurs jours pour faire le béton et le couler.  Ce sera donc pour dans le courant de cette semaine, vu que l’on annonce un temps estival dès ce mercredi.

J’ai donc décidé de continuer la mise en place du bardage de la citerne à mazout.  Aussitôt dit, aussitôt fait ! Façon de parler ! Car entre chaque placement de latte et la visserie, il y a les aller-retour vers la grange pour la découpe des lattes et chercher « le stock » mis à l’abri de la pluie.

  souvenez-vous, je l’avais laissé ainsi au soir du 15 novembre

  voici l’évolution au soir du 17 novembre

Entre les deux , il a fallu inverser les renforts horizontaux de l’extérieur vers l’intérieur, rattraper la planéité de l’ensemble par l’ajout de blocs et de chevrons verticaux.  Tout a été réutilisé.

   ici, on voit bien le chevron vertical rajouté ainsi que les lattes obliques inversées et les calles de récupération de planéité

Aujourd’hui, avec le beau temps, un gros coup y a été mis pour bien avancer et si possible terminer.  

Pas mal de découpes pour alignement avec la pente de toit ou pour le passage des poutres existantes, quelques subterfuges pour que des lattes tiennent entre elles là où il n’y a pas de montants de fixation.

J’en ai profiter aussi pour dégager le dessus d’un ancien puits maintenant totalement bouché.  D’après mon voisin Alain, celui-ci descendait à plus de 25 m (quelle belle citerne d’eau de pluie cela aurait-il fait !!) mais est depuis de nombreuses années totalement empierré. Quelques photos témoignent plus que de longs textes. 

 

 

 

Souvenez-vous :

 avant  

 maintenant 

Objectif atteint !  La 1ère partie du bardage est terminée.  Maintenant il me reste à placer les fondations des parties latérales avant et arrière, c’est à dire préparer les pieds de réceptions des 4 futurs chevrons 7,5 x 7,5 pour effectuer les fermetures partielles avant et arrière.  Ce sera pour plus tard, car maintenant il me reste encore pour les jours à venir à finalement terminer de décharger ma remorque et terminer la dalle de béton avec mon ami Jean-Claude.

A bientôt,

Le Hangar/Séchoir à Tabac

Vu l’extrême mauvais temps en ce dimanche : vent permanent à +/- 30 km/h avec des rafales régulières à près de 70-80 km/h et une température n’excédant pas les 8°, impossible de faire quoi que ce soit à l’extérieur.  

Je vais donc vous exposer un peu d’histoire (et oui !!) sur les hangars/séchoirs à tabac, vu que j’en possède un sur ma propriété, de 200 m² au sol.

  

Les hangars à tabac ou plus précisément les séchoirs à tabac sont des bâtiments agricoles, qui servent au séchage du tabac après sa récolte, culture qui était particulièrement développée en Dordogne.  Ceux-ci ont évolués dans le temps.

« Au début des années 50, un concours est organisé par la fédération nationale des planteurs de tabac, pour la création de séchoirs à tabac afin d’améliorer le rendement et la qualité de la dessiccation des plants de tabac » (Extrait de la Charte Forestière Sud Périgord)

C’est ainsi qu’un atelier du Bergeracois, spécialisé en fabrication de charpentes, les Ets. Chaverou (et non Chavroux !!), remporta ce concours avec un modèle de séchoir tout en bois.   Ce modèle inspirera par la suite la majorité des séchoirs construits, avec des variantes bien évidemment.

Les variantes tenaient dans le positionnement des aérations, verticales ou horizontales, dans la structure de construction, tout en bois ou partiellement en bois, dans la présence de lanterneaux ou pas, …

C’est ainsi que mon hangar/séchoir à tabac est « catalogué » comme étant un séchoir « type girondin », car base en pierre du pays, ouvertures d’aérations verticales, double portes en bois à 2 vantaux.  

D’autres modèles se situent pas loin de chez moi, comme par exemple : ossature bois avec ouvertures d’aérations basses horizontales, simple double porte bois à 2 vantaux ; d’autres encore sont en pierre et sans portes ; d’autres plus petits sont en forme de tunnel de culture ; d’autres ont un appentis latéral permettant aux bêtes de se protéger lors de pluie ou pour s’alimenter aux mangeoires ; …

   

  

Dans tous les cas, les séchoirs à tabac du « type girondin » devaient avoir une structure haute et une charpente bois solide, en mesure de supporter le poids important de l’entreposage des feuilles de tabac en grappes.   La charpente en bois avait une coupe type permettant l’ajout de « moises », sortes de poutres supplémentaires horizontales reliant chaque jeu de charpente et qui servaient à recevoir ces grappes de feuilles de tabac à sécher.  Afin que ces feuilles de tabac puissent sécher en 3 à 6 semaines, les séchoirs disposaient de ces fameuses larges ouvertures horizontales ou verticales dans lesquels étaient installés les volets mobiles, en bois ou en tôles.   Volets qui se manoeuvraient d’une main à l’intérieur grâce à un jeu de manches en bois solidaires actionnant tous les volets d’une même ouverture en même temps.

  

Les séchoirs ont évolué au fur et à mesure de la baisse de la production de cette plante et dès lors les séchoirs sont devenus plus petits, soit en bois, soit en pierre et bois, soit sous forme de tunnel en bâches.

Dans les photos ci-dessous, on voit bien ces grappes de feuilles de tabac tressées et accrochées ici à un fil d’acier pour le séchage.  Voyez ceux au soleil bien plus « avancés » que ceux à l’arrière du même séchoir.

  

Les ouvertures ont le même principe, faire passer l’air pour aider au séchage, on ouvre les bas latéraux et le haut des entrées pour l’évacuation de l’air « surchauffé » et humide.  Regardez la charpente, le principe girondin est conservé malgré la beaucoup plus petite structure.  

Plus de 10.000 séchoirs ont ainsi été construits dans toute la France et principalement en Dordogne en près de 70 ans et tous principalement en bois de chêne, de châtaignier ou de pin maritime.  Etrange non !, ce sont les essences que l’on retrouve à 60 % sur le Périgord.   Juste un petit rappel pour votre information, lorsque vous viendrez en Dordogne, vous y découvrirez naturellement les lieux emblématiques historiques, vous y dégusterez les « gourmandises » locales, mais vous voyagerez aussi dans ce département vallonné au sein de « 31.000 Ha de forêts de taillis, de futaies, de forêts mélangées où les essences de châtaignier, de chêne, de pin maritime et quelques autres variétés sont les plus répandues.  De ces forêts dépendent 85 artisans, charpentier, menuisier ou ébéniste ; ainsi que près de 35 exploitations procurant du travail à 400 personnes. » (extrait de la Charte Forestière Sud Périgord) Ce n’est pas rien !

Actuellement, le bois attirant toujours de part son meilleur maintien de la température intérieure, de part sa chaleur de confort, de part sa « nature » authentique, certains architectes adoptent l’idée des séchoirs pour leurs constructions neuves ou s’attellent à la rénovation de séchoir ancien, comme ici à Lalinde, non loin de chez moi ou à la Roque-Gageac où un ensemble de 3 séchoirs a été réhabilité en logement individuel.

A bientôt, 

Projets 5 : Divers Travaux 4

Bonsoir à tous et toutes,

Quelle journée aujourd’hui à essayer d’avancer entre les gouttes.

Ce matin temps superbe mais froid : 8,5° puis au fil de la matinée cela s’est assombri pour terminer en orages et pluies intermittentes jusqu’à ce soir.  Mais bon, comme disait mon papa : « Pluie du matin n’arrête pas le pèlerin ». Un superbe pinson (je pense) est venu grignoter sur le sol ce que les mésanges ne mangent pas dans le mangeoire suspendu dans le pêcher, car ces petites bêtes sélectionnent ce qu’elles mangent.

  

Après avoir décidé si je me lançais ou pas, je me suis occupé d’abord de débloquer le tambour de mon lave-linge qui s’était quelque peu coincé, lors du trajet du déménagement, sur les 15 derniers kilomètres en mauvais états (et oui il n’y a pas que chez nous que les routes sont dégradées !!) et pleins de tournants.   Bref, après quelques jurons, j’y suis parvenu ! Le temps de nettoyer les joints et de remonter le couvercle du lave-linge et hop essai ! Et miracle, elle fonctionne à nouveau.  Du coup, 2 lessives coup sur coup !  Je suis content !!

Dans l’après-midi, je me suis occupé de ramasser les tailles effectuées, par épisodes, car ponctué d’averses. J’ai découvert un de mes arbustes en fleur, je ne sais pas ce que c’est.   Carine ou Marie-Aline pourront peut-être m’aider.  Voyez les photos !

  

Ensuite j’ai « attaqué » le bardage de la citerne à mazout.  D’abord démonter partiellement ce qui existait car de travers, pas de niveau !  Ensuite rectifier l’alignement par ajout d’une traverse verticale, mais non ancrée dans le sol, uniquement fixée à la traverse inférieure et à la supérieure. Les traverses obliques doivent encore être changées de côté, de l’extérieur vers l’intérieur, afin de permettre un bardage uniforme jusqu’en haut.  L’ouverture sol restera vu la déclivité pour la « ventilation », car à terme les côtés seront aussi fermés.  Le bois utilisé est chanfreiné sur les côtés permettant un emboîtement parfait et est autoclavé.

  

Après cette journée mouvementée question temps, il est l’heure de se faire plaisir !!  A votre santé !! (Certains reconnaîtront la bouteille, … choisie lors d’une visite de la cave du Château de Monbazillac)

 

A bientôt, 

Projets 5 : Divers Travaux 3

Bonsoir,

Aujourd’hui temps pourri !  Cela me rappelle le temps de chez nous …  Malheureusement c’est parti pour 4 jours avec une chute des températures annoncée.  Hier 19° et un peu de vent, aujourd’hui et pour les jours à venir pas plus de 11° à 12° et temps pluvieux !! 

Mais cela n’empêche pas de sortir et de continuer à préparer le chantier de lundi prochain, à savoir dégager la grange ouverte pour pouvoir préparer le sol pour couler la dalle de béton.

Jean-Claude, le mari de Jeanine, grâce à qui j’ai découvert cette belle bâtisse, est venu m’aider ce matin à bouger les 2 anciens foudres, dans lesquels à l’époque on marchait pour écraser, presser le raisin et en faire sortir le 1er jus.  On a eu peur que tout se démantibule, vu qu’ils sont restés là pendant plus de 15 ans, mais bon, à l’air libre et supportant tous les changements de températures.   Et bien, non !  Le cerclage a tout maintenu en place et après quelques manoeuvres, nous sommes parvenus à les déplacer.

  

Dommage que Jeanine n’était pas là pour nous photographier en plein effort, car ces mastodontes de chêne et d’acier pèsent leur poids !! Croyez-moi !!  En plus de leur diamètre de près de 2 m !!  Et tout cela sous la pluie, donc en plus avec un sol herbeux glissant nous empêchant de pouvoir bien nous ancrer dans le sol pour pouvoir pousser de toutes nos forces.  Mais cela a été, on y est arrivé et maintenant, ils reposent pour un temps dans le hangar à tabac.  

Je pense bien leur trouver une destination d’utilisation à terme : prendre un bain extérieur, comme dans un jacuzzi ou quelque chose d’équivalent ? Non ?  Cela pourrait être original !  

Si vous avez des idées, n’hésitez pas !

 

 

Bref, la grange ouverte est prête à être transformée …

 avant   après

 

Vu le mauvais temps, il n’a pas été possible d’avancer et de décharger la remorque, toujours bourrée !!  Ou de commencer le bardage de la citerne.    Ce sera pour un jour prochain dès que le temps le permettra.

A bientôt, 

Projets 5 : Divers Travaux 2

En ce jeudi, le temps a été venteux mais sec et beau.

Je l’ai donc mis à profit pour prendre l’air une bonne partie de la journée et avancer avec les tailles de massifs et le nettoyage de végétaux, avant la saison froide et mon prochain retour.  Ainsi la végétation est « prête » pour passer l’hiver et moi j’ai gagné du temps sur les travaux de jardinage du début du printemps.

Ainsi j’ai pris mon courage à 2 mains pour tailler et « rattraper » le massif de laurier qui avait tendance un peu à pousser tous azimuts.  Comme diraient certains, la taille est à l’image de G….. , « au carré » ! mais c’est tout de même beau une fois terminé !  Et sans cordeau !!  Reste a plus qu’à ramasser maintenant …  

 

Un petit intermède le temps que la livraison partielle de fuel soit faite (de quoi tenir jusqu’à la livraison de décembre de + de 2.000 L) et hop sur ma lancée, j’ai attaqué le nettoyage des pieds des figuiers et l’élagage du tronc des résineux. Mon voisin Alain ayant eu la gentillesse de tondre tout le terrain avec son tracteur pendant ma précédente absence, j’ai pu immédiatement m’occuper du nettoyage des pieds des figuiers afin que toute la force de croissance soit transmise à l’arbuste lui-même et ses futurs fruits et non perdue dans les multiples rejets.  J’ai un figuier à fruits noirs et un à fruits blancs.  J’espère pouvoir faire quelques confitures l’an prochain avec les fruits de ceux-ci.

 

Pourquoi le nettoyage et l’élagage des troncs des résineux me demanderez-vous ?  Question de principe pour ne pas se blesser par un bout de branche dépassant car mal coupé ou scié et aussi question de ne pas se prendre une branche dans le visage, en marchant ou sur son tracteur pendant la tonte.  Ensuite cela permet de garder une vue lointaine sans avoir « un mur » de végétation devant soi.  Donc sous 2m, rien ! Excepté les petits arbustes comme les figuiers ou par exemple si vous avez des basses tiges.  Mais là aussi il faut « dompter » !  En outre le nettoyage du bois mort permet d’aérer l’arbre et d’apporter de la clarté en son centre et ainsi favoriser le développement des branches centrales de l’arbre.  Je l’avais déjà fait lors de mon précédent séjour, sur mes pêchers.

  

Une journée bien remplie.

A bientôt, 

Projets 5 : Divers travaux

Et c’est parti !!

Hier matin, à peine arrivé après une journée de route, lourdement chargé et à nouveau « en convoi », pour un nouveau séjour 1) de fin de négociations de divers devis, 2) de planifications de chantiers, 3) de confirmations de dates de début des « festivités », … voilà que les matériaux commandés la fois passée étaient livrés comme prévu, à la date convenue.  Cela faisait bizarre, car après tous ces mois de réflexions, de modifications ou d’adaptations de plans, de rencontres de divers corps de métiers,  … les choses finalement se mettaient en place. 

Fini de tergiverser, maintenant faut y aller !

  

 

Les 1ers matériaux livrés sont ceux prévus pour la réalisation :

1) du bardage de l’appentis de la citerne à mazout, 

 

2) de la dalle de béton dans la grange ouverte,

 

3) du placement du nouveau treillis du jardin privatif.

 

 

Du travail en perspective pour les jours à venir … 

A bientôt, 

Les Projets de Rénovation

Bonjour ou bonsoir à tous, 

Nous rentrons maintenant dans le coeur du sujet de ce blog : ‘Les Projets de Rénovation’ ou en d’autres termes les modifications souhaitées et envisagées pour pouvoir donner à cette demeure les atouts de sa nouvelle destination.

En effet, le projet principal est de rénover ce qui doit l’être, de restaurer s’il y a lieu, de garder le caractère initial, d’agrandir certains espaces, de doter d’autres d’un meilleur confort, … bref de rendre cette demeure la plus conviviale et familiale possible.  

D’abord pour soi-même car ce sera malgré tout à terme le lieu de vie quotidien, ensuite de l’adapter de la meilleure manière qui soit à la réception d’hôtes invités chez soi.

Les différents projets qui vont vous être présentés dans cet article s’imbriqueront les uns dans les autres.  De part le fait que lors d’un travail dans une pièce, une incidence pourra avoir lieue dans une autre ou bien pour effectuer une modification dans l’une, une adaptation devra être faite préalablement dans une autre ou bien si un corps de métier doit intervenir pour une phase de travail spécifique et qu’elle doit être réalisée également dans une autre pièce.

Les projets se définissent en plusieurs phases :

Projet 1 : L’extension du salon par la transformation et l’intégration de l’ancien Chai en un seul lieu de vie.

Projet 2 : La modification des Chambres 4 et 5 et les salles de bain.  Voilà l’exemple parfait d’incidence d’un projet dans l’autre, car la modification des salles de bains devra se faire avant le « traitement » du Chai et de son plafond en poutres.

Projet 3 : La modification des Chambres 1+2+3 par intégration d’une nouvelle salle de douche, par transformation des cloisons afin de pouvoir « moduler » l’occupation des chambres selon les besoins.

Projet 4 : Châssis et portes

Ce projet sera tout prochainement mis en route, car au contraire de tout le reste de la maison, les châssis des fenêtres des chambres sont encore en bois avec du simple vitrage.  De même les 2 portes de cave et terrasse-cave et le châssis-chaufferie sont encore de très anciennes factures. Afin de préserver l’esthétique générale, la qualité d’économie d’énergie et la prévention contre le vol éventuel, ce sera mis en oeuvre dans les plus brefs délais.

  

 

Projet 5 : Divers

Dans cette phase-ci, divers projets seront menés soit de concert, soit au fur et à mesure, comme par exemple :

démoussage du toit, remplacement de certaines gouttières, modification des descentes d’eau et installation d’une citerne d’eau de pluie enterrée, rattrapage des solins en ton pierre, pose de planches de rives manquantes, nettoyage des pieds des fruitiers et dégagement des arbres jusqu’à 2m de haut ; remplacement de la clôture et du portillon bois du jardin privatif ; remplacement d’une ancienne clôture rouillée de prairie par une treillage-ganivelle en châtaignier ; pose du bardage de l’appentis de la citerne à mazout ; réparation vitrages porte local jardin, traitement anti-rouille et remise en peinture de la porte acier ; coulage d’une dalle de béton dans la grange ouverte ; remplacement de la porte coulissante en vieille tôle, du garage perso, par une porte en bois – type grange – à vantaux ; ré-empierrement stabilisé de l’entrée principale par modules alvéolaires ; enterrement du câble d’alimentation général EDF ; … …

 

Voilà pour la mise en bouche de ce qui va être mon quotidien d’ici peu, en sachant que certains gros travaux comme sablage des murs en pierre de taille, rejointoyage de ceux-ci, plafonnages d’autres murs, démoussage du toit, installation d’une citerne d’eau de pluie enterrée, … seront exécutés par des corps de métiers spécifiques.  En effet, dans ma démarche je souhaite au maximum faire appel à des artisans connus et reconnus, « labellisés », « qualifiés », locaux et régionaux.  Pour le reste, j’espère que mes qualités de bricoleur averti feront la différence et me permettront d’économiser quelques sous.

Dans tous les cas, mon planning prévoit une fin des travaux pour la maison et ses abords directs au plus tard pour Pâques 2016, si possible plus tôt – par ex. Juin 2015 – afin de pouvoir « profiter » de la saison estivale.  

La période automnale et hivernale étant propice aux travaux intérieurs, ce qui tombe très bien ! Les différents devis rentrent et les « feux verts » devraient être donnés, après comparaisons, re-négociations et en fonction des planning des corps de métiers, d’ici au 15 décembre prochain.

A bientôt pour la suite,

Le Pays des Châteaux

Voici le dernier volet de ‘mise en bouche‘ de la découverte de la région autour de Saint-Avit-Sénieur : ‘Le Pays des Châteaux’ en Périgord noir … avant « d’attaquer » le gros volet « des travaux » envisagés.

Ce côté de la Dordogne est celui du Périgord noir , ‘noir’ car vu du ciel, cette région de la Dordogne fait comme une tache sombre sur la carte. Ceci est du à la densité des forêts de chênes et de châtaigniers entre-autres, mais aussi au relief accidenté qui dans les creux ‘assombri’ la vision aérienne.

Cette région est située à moins d’1 heure de la maison et sur une journée, il y a moyen de combiner 2 voire 3 belles visites.  

Mais nous sommes dans le sud-ouest et comme dirait La Fontaine dans l’un de ses poèmes : ‘rien de sert de courir, il faut partir à point’ !  Il faut prendre le temps de saisir le pays, de déambuler sur les petites routes locales, d’apprivoiser l’environnement, de déguster à une bonne table.  Bref de vivre !

Le Pays des Châteaux s’étend tout au long du fleuve qu’est la Dordogne et va de « La Cingle de Trémolat » jusqu’à « Sarlat-la-Canéda », en passant par des sites majestueux tels que par exemple : 

– le château de Castelnaud-la-Chapelle, le château de Beynac et Cazenac, le château des Milandes, le château de Fayrac, le château de la Roque-Gageac et son village adossé à la colline, la cingle et le château de Montfort, le château de Rouffilac-Carlux, …

 

Château de Castelnaud-la-Chapelle

Château de Beynac et Cazenac, sur la rive opposée (photo du site du Périgord)

Sur la route du château des Milandes, le château de Fayrac

Le village adossé de la Roque-Gageac

 

Le site emblématique de Domme et sa vue incomparable depuis le promontoire sur toute la vallée de la Dordogne

 

La Cingle (anse de la Dordogne) et le château de Montfort

 

Sarlat-la-Canéda, l’incomparable restauration

Le château de Rouffilac-Carlux

– le majestueux site de Domme et sa grotte, le belvédère de la Dordogne qu’est Marqueyssac et ses jardins, la cité médiévale de Belvès et ses catacombes, la Ville de Sarlat incomparable de restauration, …

La falaise et les jardins ‘suspendus’ de Marqueyssac, vu depuis une ballade autour du château de Castelnaud

Le village de Belvès sur son promontoire rocheux

Vous dévoiler plus de cette région serait … ‘indécent’ … Venez-y ! et découvrez par vous-même toute la beauté de cette région.  Car je ne vous ai pas parlé de l’autre rive de la Dordogne, en allant vers « Le Pays de l’Homme » et toute la pré-histoire de notre existence, les sites troglodytiques ; en voguant sur la Vézère ; ni les jardins panoramiques de Limeuil et sa confluence entre la Vézère et la Dordogne ; ni tout ce qu’il y a à découvrir encore : Saussignac, St-Foy-la-Grande, Lanquais, Le plus grand aquarium du Périgord noir d’eau douce à Le Bugue et sa cathédrale de cristal qu’est le Gouffre de Proumeyssac, Périgueux et sa cathédrale Saint-Front, Brantôme (la Venise du Périgord) et la Grotte de Villars, Nontron (haut lieu de la coutellerie), Jumilhac-le-Grand, Hautefort (le Versailles du Périgord), le Manoir d’Eyrinac, Montignac-Lascaux, … ni le circuit des plus beaux villages de France – nombreux en Périgord – , ni la visite des nombreux marchés estivaux, …

Moi-même depuis plus de 10 voyages plus ou moins longs depuis 2011, je n’ai pas encore tout vu !

Et puis si vous en avez l’occasion, vous pouvez aussi pousser une pointe en continuant vos visites le long de la Dordogne Lotoise, vers Souillac, Rocamadour, le Gouffre de Padirac.    Si vous passez par Souillac, arrêtez-vous à la boulangerie ‘L’Artisan‘ à l’entrée du village, incomparable de savoir-faire et saveur.         Bruno y est un passionné du « bon pain » et n’hésites pas à parcourir le département pour trouver les meilleures farines pour pétrir son pain.  Un savoir-faire qui n’a pas d’égal.  Un régal d’authenticité.

Merci tout particulièrement à mes amis Danielle et Robert pour m’avoir fait découvrir cette région-là et toutes ces haltes du bon goût, que ce soit le long de la Dordogne ou ailleurs.

Restaurant surplombant le bord de la Dordogne

Rocamadour

Propriété privée sur la route des Causses vers Rocamadour

 

A bientôt dans la région,